mardi 9 décembre 2008

A découvrir... Fumigène, Ressources Urbaines

Fumigène : Littérature de rue : Trimestriel engagé et indépendant, cultures et sociétés, Fumigène est le journal "haut parleur" de la diversité.

A vous juger.

Un article : "Moi je ne lis pas la rentrée littéraire. Je lis des livres."
"Septembre, et son lot de bouquins sur les étals. Dans le jargon, on appelle ça la « rentrée littéraire » … Comme chaque année, les mêmes auteurs bobos sortent du coma pour nous vendre leur dernière œuvre « magistrale ». A Fumigène, on a préféré faire la rentrée avec 2 copines elles-mêmes romancières, les mêmes qu’on croise dans nos quartiers, ou sur les bancs du bahut. Des écrivaines qui ne se la racontent pas, et qui débordent de talent : Samira El Ayashi, et Habiba Mahany. "




Autre regard : Ressources humaines

Ressources Urbaines fournit des informations, textes et images, pour témoigner et comprendre la réalité afin de changer notre regard sur les quartiers et leurs habitants. Structure de proximité, opérant sur le terrain, pour créer, à travers les médias, des passerelles entre les habitants et les institutions, cette agence de presse offre des outils pour analyser (une revue de presse, résumant et analysant l’actualité sur les quartiers avec un recul qui exclue le traitement de l’actualité sous la pression de l’urgence), connaître (une banque de données proposant de multiples références sur les quartiers ; des chroniques de la vie quotidienne pour de comprendre de l’intérieur la réalité des quartiers)et participer (des liens vers avec un réseau d’acteurs et d’experts des quartiers, un agenda).

Photos.





Et à 3.0 :

Mieux vaut le débat, la confrontation , le désaccord que l'ignorance.

Mieux vaut le désaccord que (l'intégration) la désintégration ou la récupération.

Mieux vaut être différent et chercher réellement à se comprendre, que tout lisser.

vendredi 5 décembre 2008

Le jeudi 11 décembre, La Rumeur au club 3.0

Le club 3.0 accueille le jeudi 11 décembre Hamé du groupe de rap LA RUMEUR.

La Rumeur est un groupe de rap engagé composé de quatre rappeurs (Ekoué, Hamé, Philippe et Mourad) et de deux DJs (Soul G et Kool M).

La Rumeur se considère comme un groupe de rap underground et qui déchire, souhaitant se différencier en cela du milieu du rap français qui, en grande partie selon eux, adaptent leurs textes aux exigences des radios, quitte à perdre leur caractère subversif (cf Nous sommes les premiers sur ... sur l'album Regain de Tension). Aussi, ils refusent d'atténuer leurs textes pour être diffusés sur des radios commerciales telles que Skyrock ou Fun Radio.
Source : Wikipedia

- Accueil & Networking : 19h45
- Débat : 20h15
- Dîner : 21h45

FIORI (métro Balard/Javel)
52-56 rue Balard
75015 Paris

Inscription/confirmation troispointzero[@]yahoo.fr


lundi 24 novembre 2008

Le 04 décembre au club 3.0 ?

Le 04 décembre à 19h45, le club 3.0 change de lieu (FIORI, Paris 15) et a le plaisir de recevoir Frédéric Bartoli, Directeur général de Lagardère Digital France. HEC de formation, fondateur d'Infobebes.com en 2000, premier site dédié à la famille, Frédéric Bartoli a pris la direction de Lagardère Digital France, filiale du groupe média Lagardère dans laquelle on retrouve les grands portails du web francophone (Elle.fr, tele7.fr, premiere.fr, public.fr, Europe1.fr etc.).

- Accueil & Networking : 19h45
- Débat : 20h15
- Dîner : 21h45

On vous attend nombreux !

FIORI (métro Balard/Javel)
52-56 rue Balard
75015 Paris
Confirmation troispointzero[@]yahoo.fr

dimanche 9 novembre 2008

Le 30 octobre, l'open space : le compte rendu de Vincent



Le 30 octobre, le club 3.0 a accueilli un duo d'écrivains trentenaires talentueux : Alexandre des Isnards et Thomas Zuber, co-auteurs d'un livre polémique à succès (11000 exemplaires déjà vendus), "L'Open Space m'a tuer".
Il s'agit d'une description au vitriol de la vie quotidienne des cadres dans le monde de l'entreprise moderne, à mi-chemin entre pamphlet et comédie douce-amère.



Comment leur est venue cette idée ?

Tout naturellement : un jour, un cadre de leur entreprise a démissionné, laissant comme "testament" un email envoyé à tous, sous la forme d'un quizz satirique sur les raisons de son départ, pointant ainsi les nombreux travers de l'ambiance de travail. Ce quizz a été reçu par l'ensemble de ses collègues comme un acte de courage, et l'idée a alors germé dans les esprits observateurs et malicieux d'Alexandre et de Thomas. Et si nous allions plus loin ? Si nous racontions les choses telles qu'elles sont ? Nous, les cadres bien payés, qui tirons notre épingle du jeu, n'aurions-nous donc le droit que de nous taire ? Il s'agit bien là d'un acte révolutionnaire : revendiquer le droit à la parole, malgré le statut social, oser braver l'accusation de cracher dans la soupe, ne pas avoir peur de dire la vérité, fusse au prix de passer pour des traîtres... Car Alexandre et Thomas n'ont pas claqué la porte; ils veulent continuer à travailler, tout en gardant leur liberté de parole, à l'instar d'un Beigbeder qui a pu écrire "99F" et continuer malgré tout à travailler dans la pub... ou du moins dans des univers proches.



Quel est le propos du livre ? Est-il un brûlot, une satire, ou juste un divertissement ? Jugez-en donc par vous-même :
Alexandre et Thomas nous racontent, à l'aide d'un grand nombre d'anecdotes tirées de leur vécu, que dans le monde des cadres, des consultants, et même des dirigeants, le bonheur est forcé : il faut toujours avoir l'air heureux de mettre son énergie au service de cette grande et belle entreprise, quand bien même on aurait pas de visibilité sur la finalité de son travail... Le tutoiement est de rigueur, il faut s'appeler par son prénom, supporter que des gens qui ne vous connaissent pas s'extasient que vous ayez passé un "week-end génial", sinon, vous aurez commis un crime de lèse-"positive attitude" (le nom d'un des chapitres du livre), crime punissable de mort sociale au sein de l'open-space !



Mais ne pourrait-on pas imaginer que ces consultants (mot qui impressionne toujours la petite famille, même si on serait bien en peine de définir ce qui ce cache derrière) ont des responsabilités exaltantes, un travail complexe, enrichissant et fascinant ? A vrai dire, pas tant que cela : réconcilier des chiffres sur un tableau Excel, ou décliner la propagande de l'entreprise dans des présentations Powerpoint, n'enthousiasme guère nos cadres ; au contraire, il semblerait même qu'ils n'osent répondre à la question "qu'as-tu fait aujourd'hui ?" le soir en rentrant à la maison, tellement leurs missions leur semblent vide de sens. On ne compte plus les cadres qui sont shootés aux antidépresseurs pour trouver la force de se lever le matin... Il subissent une pression énorme, "le client le veut pour hier", on s'envoie des messages marqués "ttu" pour "très très urgent", mais on ne se parle plus, on ne prend pas de recul, on n'a plus le temps.

Les nouvelles méthodes de management sont-elles performantes pour résoudre le blues du cadre au travail ? Rien n'est moins sûr :


Les cadres ne sont plus dupes, comme dans les années 80, de l'étalage des valeurs d'entreprise comme facteur de motivation. Prenant acte de ce fait, les grandes entreprises, d'ailleurs, n'essaient même plus de faire semblant : elles préfère prêcher des concepts très généraux qui en appellent à l'individualisme de ses employés : "nous allons maximiser votre énergie" est l'un de ses nouveaux slogans ; ce qui participe de ce concept de "société-école" cher aux grands cabinets de conseil : "formez-vous chez nous, et dans 3 ans, tout le monde voudra vous embaucher !"

On a bien essayé le "management participatif" : Plutôt que d'avoir un chef tyrannique qui mène son monde à la baguette, bienvenu au chef débonnaire qui vous dit affectueusement : "c'est toi le chef de projet, c'est toi qui sais, je te fais confiance, tu as carte blanche !". Mais il ne faut pas être naïf, les dés sont alors pipés. Le budget fixé à l'avance, les marges de manoeuvre quasi-inexistantes, et garde à celui qui ose s'en plaindre et remonter la vérité...

On vante l'esprit d'équipe, mais pourtant ce ne sont pas des équipes que l'on évalue, mais bel et bien des individus, que l'on a donc mis en concurrence féroce les uns avec les autres.

On a enfin introduit la notion de "client interne" : chaque département est client d'un autre et donc s'efforce de le satisfaire, sans pouvoir mettre en cause le fait que ses exigences aient un sens pour le business ou non... notion qui s'est donc révélée peu efficace !




Et l'Open-Space, dans tout ça ?


Après tout, c'était le titre du livre, qui fait un clin d'oeil à un fait divers fameux.

Le moins que l'on puisse dire, c'est que nos auteurs ne sont pas fans de l'open space : au nom d'une fausse convivialité, on gomme toute tranquillité : si je veux m'isoler quelques heures pour réfléchir à tête reposée sur un document, je passe pour asocial ! Le summum semble avoir été atteint dans une entreprise où le "manager" avait insisté pour être au centre de l'open-space dans une cage en verre plutôt que seul en haut de la tour, malgré les problèmes évidents de confidentialité. Alexandre et Thomas ont comparé cette situation à la visite d'un zoo...



Qu'en est-il de la fameuse "quête du sens", celle-là même qui a été évoquée un temps par les patrons d'une grande chaîne de télévision ?

Le débat s'est alors engagé avec la salle. Est-il possible de redonner du sens au travail ? Les gens ne crée-t-ils pas eux-même leurs propres réseaux ? A voir, il suffit de lire "Fesse-Book", l'un des chapitres du livre, qui montre la superficialité du fameux site de "networking" et ses dangers....

Peut-être le plus terrifiant, dans l'histoire, c'est que l'on démontre une fois de plus que le système est très doué pour intégrer sa propre critique : nos amis auteurs ont été globalement bien reçus par les médias, et Laurence Parisot, la patronne des patrons, très au fait des problématiques du monde du travail, leur a donné la réplique chez Ardisson. A FT, on a même organisé un pot pour fêter la sortie du livre !



Veulent-ils, nos auteurs, devenir syndicalistes ?

Non, car les syndicats, des ouvriers comme des cadres, sont très peu représentatifs, et être syndiqué donne l'image d'être inutilement contestataire. Mieux vaut continuer d'encourager le débat et la libre parole de ceux qui sont dans le système.



Alors, que faire ?


Pour faire le lien avec la crise financière, on peut rappeler que certaines grandes entreprises ne sont plus ce qu'elles étaient : HP, par exemple, il n'y a pas si longtemps encore, avait le "HP way" qui faisait que les ingénieurs ne comptaient pas leurs heures, avaient les yeux qui brillaient lorsqu'ils parlaient de leur travail, et se sentaient en harmonie avec les valeurs d'excellence de l'entreprise; depuis que le management est exclusivement financier et vise le court terme, que le "middle management" a disparu, qu'il n'existe plus que deux classes de personnes, les dirigeants qui encaissent tous les bonus et la "piétaille" pour qui le travail est devenu juste alimentaire, on a l'impression que l'entreprise s'est tiré une balle dans le pied, que même les "jobs" les plus qualifiés sont partis en Chine, et que même le PDG est jetable !



Faut-il donc revenir au capitalisme industriel des années 60s ?

Alexandre et Thomas sont dubitatifs, le paternalisme n'est pas non plus leur idéal. En revanche, l'idée de la fin des grandes "corporations", et l'avènement des "freelance", des "électrons libres" qui mettent en commun leurs compétences spécifiques sur un projet donné, leur semble une idée pleine d'avenir !

Sur le chapitre des comparaisons avec leurs prédécesseurs, Alexandre et Thomas récusent l'analogie avec "Bonjour Paresse", qui selon eux va plus dans le sens du dénigrement de la valeur travail, à laquelle ils souscrivent malgré les difficultés, que dans celui d'une revalorisation du sens de ce travail; ils reconnaissent en revanche un maître en "Dilbert" de Scott Adams...

David ose ironiquement la question finale : " Que ferez-vous dans 5 ans ?" Nos auteurs partent d'un éclat de rire : "c'est la question bateau d'en entretien de ressources humaines.... on a vraiment envie de hurler : je n'en sais fichtrement rien, et c'est une question idiote !".



Finir sur un espoir ?

Une chose toute bête m'a touché à la fin de cette soirée : nos auteurs, qui dédicaçaient leur livre, ont mis un point d'honneur à ne pas écrire des phrases banales toutes faites, mais de prendre le temps de trouver un mot gentil pour chacun, en fonction de ses interventions dans la soirée, sa personnalité, ses projets.... Leur modeste mais hautement symbolique contribution à la lutte contre l'individualisme, la superficialité et le conformisme ambiants. Bravo et merci Alexandre et Thomas ! Vous nous laissez le monde de l'entreprise pas tout à fait dans l'état où nous l'avons trouvé...




Vincent Weber, club 3.0

samedi 8 novembre 2008

14 novembre les Matinales 3.0 #1

Pour cette grande première des matinales, le club 3.0 est ravi de recevoir Fabrice Ramelli, directeur executif - Lehman Brothers France (aujourd'hui Nomura, suite au rachat). Sous la forme d'un petit déjeuner, nous échangerons avec Fabrice Ramelli pendant plus de 45 minutes sur la crise économique dans le monde, la faillite de Lehman Brothers vue de l'intérieur et son avis sur les conséquences de la crise sur le secteur financier en particulier. Notre partenaire Audit & Solutions est très heureux de recevoir le club 3.0 pour les Matinales dans ses locaux. Chaque évènement est limité à 20 places maximum, merci de confirmer (confirmation obligatoire) votre présence à l'adresse suivante : troispointzero[at]yahoo.fr. 8h chez Audit & Solutions, métro Madeleine

jeudi 23 octobre 2008

Les matinales 3.0




Le Club 3.0 lance les "matinales 3.0" autour d'une personnalité qui traitera d'un sujet d'actualité : un petit déjeuner convivial, avant le travail ... ouvert à 15-20 personnes en moyenne, sauf cas exceptionnel où nous pourrons être plus nombreux. Café, croissant(s) et échanges fructueux. Très prochainement !

Photo d'Alain Daussin

jeudi 16 octobre 2008

Hommage à un trentenaire remarquable

"Le bonheur n'est pas le fruit de la paix, le bonheur c'est la paix même."

"On n'aime guère un bonheur qui vous tombe, on veut l'avoir fait."

Alain

En espérant que Guillaume trouvera le bonheur et la paix.

lundi 6 octobre 2008

Le 30 octobre à 3.0 ?


L'open space m'a tuer ! Un débat animé en perspective...

mercredi 1 octobre 2008

Petit compte rendu de Vincent Weber !


Comment devient-on producteur exécutif de Matthieu Kassovitz ? Comme beaucoup d'expériences humaines, cela doit beaucoup à la chance et à l'anecdote ! Après avoir créé un site Internet sur le cinéma, Guillaume décide de se focaliser sur Matthieu Kassovitz, qu'il admire, et de créer un site d'information sur lui. Lorsqu'il l'appelle pour lui dire "Dis, il y a pas mal d'erreurs de biographie sur ton site, il faudrait les corriger, peut-on en parler ensemble ? "il n'en revient pas. Les deux hommes se rencontrent et ne se quitteront plus : lorsque Matthieu propose à Guillaume de laisser tomber ses études de cinéma pour travailler pour lui, il n'hésite pas longtemps...

Qu'est-ce qu'un producteur exécutif ? Guillaume nous a donné une vue des différents métiers du cinéma: le réalisateur met en images le scénario, tandis que le producteur trouve le financement et organise une équipe de travail. Quand le film demande des moyens financiers importants, le producteur peut se décharger sur un producteur exécutif pour certains aspects opérationnels - c'est le rôle qu'a pris Guillaume auprès de Matthieu, et notamment pour son prochain film, l'Ordre et la Morale. Dans la fabrication d'un film, il faut bien faire la distinction entre le travail en amont (identifier des jeunes talents, trouver des idées), pour lequel le manque de financement est criant, et en aval (financement, production).


Comment se finance un film ? En France, c'est plutôt hybride et compliqué : cela se partage entre les aides de l'Etat : soutien automatique (système de reversement proportionel aux recettes) et soutien sélectif (avance sur recettes), les pré-achats des chaînes de télévision, les investissements des chaînes de télévision sous forme de parts de coproduction, les investissements des SOFICA : instrument fiscal incitant à financer les films français, les apports des distributeurs, les apports de coproducteurs étrangers dans le cas d'une coproduction internationale.


Guillaume a décrit Matthieu comme très intègre et droit, capable de faire des films engagés comme des films à grand spectacle.

Le sujet de son prochain film, "l'Ordre et la morale", est très sensible : En réponse à une question sur la censure en France, Guillaume a noté qu'il n'existe pas véritablement de censure au sens strict du terme, mais qu'il peut exister une censure de facto si des gens clés refusent d'aider la réalisation du film : La situation de ce film n'est notamment pas comparable avec celle de "Indigènes", dont les évènements se déroulent il y a quelque 70 ans et pour lequel le débat est relativement apaisé; au contraire, pour ces événements qui se sont déroulés il y a à peine 20 ans, les plaies sont encore à vif.

S'il n'existe pas de censure, faire financer un film qui n'est pas une comédie mais un drame, qui de plus parle de politique, de surcroît récente et sensible, relève de la gageure : Aux Etats-Unis, où le marché est immense, et le cinéma formatté (comédie/action/drame) un cinéaste engagé, tel George Clooney, peut tout de même réaliser un "Syriana". En France, les chaînes de télévision prennent probablement moins de risque, mais non pas non plus le même genre d'audience...

Alors, plus d'exception culturelle française ? Si ! En la défendant, Guillaume nous a donné de l'espoir. Il a pris l'exemple du cinéma italien, florissant dans les années 70, puis qui a eu des difficultés à l'arrivée de la télévision dans les années 80 car aucun quota n'a été imposé aux chaines pour produire "italien". Les chaînes ont alors préféré acheter des films, principalement d'origine américaine. En France, les quotas permettent tout de même un financement digne de ce nom...

Ensuite est venue une question pertinente sur les nouveaux supports de diffusion :Là où, depuis 20 ans, le divertissement audio-visuelle était réduit au cinéma et à la TV, il s'étale désormais sur de nombreux supports (film, série TV, jeux video, video internet). Le producteur de demain devra être susceptible de produire pour tout ces supports.

Dernière question, y a-t-il un cinéma "trentenaire" ?
Selon Guillaume, pas vraiment. Les trentenaires existent tout de même en tant que "segment" de choix du marché du cinéma...La cible privilégiée, d'ailleurs, pour une suite aux "Mystérieuses Cités d'Or", dessin animé culte des années 80s, dont l'auteur Jean Chalopin vient de boucler le financement, après 2 ans de galère !

Vincent Weber

Merci Guillaume !


Et Abdel pour les photos.

vendredi 26 septembre 2008

Le 30 septembre ?

Le club 3.0 reçoit Guillaume COLBOC, producteur de cinéma

19h30 : accueil/networking
20h : débat
21h30 : verre/dîner/networking

Au LR - 9, rue du Général Lanrezac
75017 Paris - métro CdeG/Etoile

A mardi !

mardi 23 septembre 2008

PotBlogsIE

Un petit post de Nicolas et Hugo qui sont venus nous présenter leur projet PotBlogsIE que le Club 3.0 soutient complètement. On a tant besoin d'une autre lecture de l'intelligence économique en France. Bravo à eux.

jeudi 18 septembre 2008

Julien Warlouzé et Guillaume Colboc


Je voudrais remercier tout particulièrement Julien Warlouzé, vice-président honoraire de l'ANAJ (Association Nationale des Auditeurs Jeunes de l'IHEDN) et consultant pour PwC, qui est à l'initiative de cette rencontre avec Guillaume Colboc le 30 septembre prochain. Julien vient de rejoindre le bureau du club 3.0. Il prend la responsabilité des évènements organisés entre deux 30 de chaque mois, que nous allons lancer : "les petites exclusivités 3.0"

Au fur et à mesure, le club se développe, prend de l'ampleur et c'est grâce à tous ses membres et à celles et ceux qui s'impliquent dans son fonctionnement (Samia, Christine, Katia, Jérôme, Vincent, Nicolas et maintenant Julien).

Nous souhaitons donner de la voix à notre génération, de manière éclectique et engagée, en réunissant des sensibilités diverses : susciter un engagement responsable (associatif, entrepreneurial ou politique), donner un éclairage générationnel et favoriser une solidarité 3.0 dans la durée.

Le 30 septembre, nous avons l'honneur de recevoir Guillaume Colboc, voici quelques lignes biographiques, signées Julien :
"Guillaume COLBOC, 28 ans, réalise un parcours hors du commun. En 1999, Guillaume prépare son baccalauréat, mais pas seulement, puisqu’il crée « Cine-court.com » et devient pionnier dans la mise en ligne de courts métrages en ligne. A la même époque, il crée un site d’information sur Mathieu KASSOVITZ. Ce dernier le repère et prend contact avec Guillaume. C’est alors le début d’une aventure, Guillaume commence un cursus d'étude de cinéma qu’il abandonne rapidement pour rejoindre l’équipe de KASSOVITZ en 2001 et contribuer au développement de ses projets. En 2002, Guillaume crée « GuyomCorp », sa propre société de production. Il réalise plusieurs courts métrages « La Chepor » (2002), « Demain la veille » (2004), « La corde sensible » (2004), « Congo Na Bizo » (2006). Par ailleurs, Guillaume assiste Mathieu dans la réalisation de GOTHIKA en 2003 et assure en 2007 le rôle de chargé de production pour la société de Mathieu KASSOVITZ pour la réalisation de BABYLON AD. 2008 est l’année de la consécration, Mathieu KASSOVITZ lui confie la production exécutive de son prochain film « L’Ordre et la Morale » (2009), sur la prise d’otage d’OUVEA en Nouvelle Calédonie (1988)."

mercredi 17 septembre 2008

Le 30 septembre à 3.0


3.0 reçoit Guillaume Colboc, producteur du prochain film de Mathieu Kassovitz, L'Ordre et la moral qui sortira en 2009. Plus d'informations dans quelques jours.

vendredi 11 juillet 2008

Ali Laïdi, prochain invité de 3.0 sur le thème de la guerre économique

Sommes-nous en guerre économique ? Qu'est-ce que cela signifie ? Quelles conséquences sur notre économie, nos entreprises et notre politique ? Notre génération est-elle préparée à affronter cette nouvelle réalité économique : désinformation, rumeur, raid financier, manipulation, vol, ... Les prêcheurs de la guerre économique sont-ils tous paranos ? Peut-on faire des affaires, créer, innover librement ? Entreprendre est-il dangereux en plus d'être risqué ? Pour répondre à ces questions, nous aurons le plaisir de recevoir Ali Laïdi, chroniqueur à France 24, spécialiste des questions de terrorisme et de guerre économique. Il présente tous les mois le Journal de l'intelligence économique sur France 24. Ali Laïdi est journaliste depuis une vingtaine d’années. Il est également chercheur à l’Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS). Il a publié plusieurs livres : « Le jihad en Europe » (Seuil, 2002) ; « Les secrets de la guerre économique » (Seuil, 2004) et « Retour de flamme : comment la mondialisation a accouché du terrorisme » (Calmann-Lévy, 2006). Il est doctorant en sciences politiques à Lyon 3.

"Il est impossible de faire la guerre sans hommes, d’entretenir des hommes sans soldes, de fournir à leur solde sans tributs, de lever des tributs sans commerce." Antoine de Montchrestien.

"La France est un pays qui pendant longtemps ne s’est pas projeté hors de ses frontières. Son économie de subsistance a nourri son caractère indépendant. Aujourd’hui elle découvre brutalement la réalité de la mondialisation et surtout son économie de subsistance est remise en cause par la mondialisation, la pénurie des ressources et la crise énergétique." Christian Harbulot



Attention, exceptionnellement le prochain 3.0 aura lieu un "1er" et non un "30", ce sera donc le lundi 1er septembre !

vendredi 4 juillet 2008

Dog dating, vous connaissez ?


Si si, ça existe et ça se passe
Bravo Arnaud, membre de 3.0 et co-fondateur avec Olivier (autre membre de 3.0) de Mon Fidel Ami, un facebook pour les animaux de compagnie et leurs maîtres (et maîtresses...). Une initiative à suivre ! Il me reste plus qu'à adopter un petit chien pour rejoindre la communauté qui vient de se créer sur Facebook. Venez la rejoindre !

mardi 10 juin 2008

Le 30 juin à 3.0 ?


L'auteur de Napoléon et le management, Alexis Suchet

Soirée au Club des épicuriens le jeudi 19 juin 2008

Pierre Masson, invité de la dernière édition 3.0, organise une soirée gastronomique avec les beaux vins du domaine Duseigneur en Vallée du Rhône sud, associé depuis quelques années avec le meilleur sommelier du monde 1992, Philippe Faure Brac. Date : le 19 juin 2008 au Mercure Défense. Pour plus d'information : masson.p-h[@]wanadoo.fr.

dimanche 1 juin 2008

lundi 26 mai 2008

Olivier Thiénot à 3.0 le 30 mai


Le club 3.0 est ravi de recevoir Olivier Thiénot, œnologue, fondateur et directeur de l’Ecole du vin, diplômé du Wine and Spirit Education Trust de Londres. Nous aurons aussi l'immense plaisir d'accueillir le Club des épicuriens, en présence de Pierre Masson. Vendredi 19h30 au LR.

samedi 24 mai 2008

La morosité des trentenaires ?

D'après TNS Sofres, les trentenaires se jugent individualistes, lucides, responsables, désabusés, égoïstes, pessimistes... mais responsables (ouf ça nous sauverait !!! Mais dieu merci, les autres générations jouent "collectif", elles sont optimistes, altruistes et vivent dans une foi inébranlable). Nous sommes aussi 84% à nous sentir bien dans la société actuelle (pas de révolution en perspective donc.) et notre loisir préféré, c'est de jouer avec nos enfants (à la Play Station). Nos valeurs "très" positives sont dans l'ordre : Le progrès, les droits de l'homme, l'engagement, l'écologie, la solidarité, le mérite, le travail et l'entreprise. Malheureusement, ces valeurs sont entre les mains d'individualistes désabusés et pessimistes forcenés, allez comprendre... Le sondage recèle pas mal de contradictions, il est intéressant et repose sur un échantillon "représentatif" de 400 trentenaires.

samedi 10 mai 2008

Gérard Solvès contre Muster !


Muster-Solvès à Roland sur le court Suzanne Lenglen, c'était en 96 !

Gérard nous avait fait le plaisir de se joindre à nous le 30 juin 2007



Et c'est bientôt Roland (le 26 !)

Etyl à la flèche d'or le 4 juin


Elle était venue à 3.0 en décembre 2006 (à gauche), elle a sorti un nouvel album en mars (dessous) et sera présente à la flèche d'or le 4 juin.


Il faut tenter, on sait jamais sur un malentendu

vendredi 9 mai 2008

Cafebabel lance son nouveau site



Cafebabel.com lance son nouveau site aujourd'hui vendredi 9 mai, avec un dossier spécial sur L'Eurogénération.

Nous avions reçu avec grand plaisir Alexandre Heuilly, lors d'une soirée 3.0 consacrée à l'Europe.

Europanova publie son deuxième palmarès des européens préférés des français



C'est la fête de l'Europe ! L'occasion de se pencher quelques instants sur l'Europe culturelle, un peu en berne. Où sont nos valeurs antiques et romaines ? Que reste t-il de l'Europe des lumières ? Pour ne pas oublier l'acte tragique de Zweig, ... Mais l'heure est plus à la légèreté, au sondage, alors on apprend dans le deuxième palmarès des personnalités européennes préférées des Français en collaboration avec l’institut CSA et Touteleurope. Fr.
1. Que Carla Bruni est bien placée
2. Que Michael Shumacher est en pôle position
3. Que les artistes (entendons-nous bien, les acteurs et les anciennes top) et les sportifs ont les préférences des français. Sur ce troisième enseignement, on peut imaginer qu'il en serait de même au niveau mondial et sur n'importe quel échantillon.
Et plein d'autres choses, à lire par exemple ici.
Pas de philosophes, d'écrivains, de penseurs, beaucoup de people, un peu de politique et le pape. Bien entendu, tout dépend de la méthode et des personnalités présentées aux sondés... une valeur relative mais cela a le mérite de faire parler de l'Europe "culturelle", d'une certaine Europe et de la belle Monica.

lundi 21 avril 2008

lundi 7 avril 2008

30 avril : Le plus jeune député de France à 3.0


Mercredi 30 avril, le club 3.0 a l'honneur de recevoir Olivier Dussopt, le benjamin de l'assemblée nationale, qui aura 30 ans le 16 août prochain ! Député PS, engagé au sein de la nouvelle gauche avec Benoît Hamon, il est aussi, depuis le 16 mars 2008, Maire d'Annonay, une ville de plus de 17 000 habitants. Il représente bien entendu cette nouvelle génération de femmes et d'hommes politiques et nous serons très heureux d'échanger avec lui sur son parcours, son métier de plus jeune député et sa vision des trentenaires.

dimanche 30 mars 2008

C'était le 30 mars, quand les traders deviendront tous philosophes !


Une cinquantaine de personnes pour un dimanche et une prestation de qualité, un public attentif et interactif. Que peut-on espérer de mieux pour 3.0 ? Le thème ? Pas évident... La finance. La finance 3.0. Beaucoup de questions sur la surenchère spéculative, sur la recherche systématique de performances financières. Vincent rappelle que même Claude Bébéar s'inquiète de la dérive et des manquements du système "Ils vont tuer le capitalisme".
Le problème de fond, c'est ce retournement de valeurs. L'homme a mis l'argent et les médias au dessus de sa tête. Jérôme Kerviel deviendra peut-être mathématicien et philosophe comme l'ancien trader Nassim Nicholas Taleb, "le dissident" de Wall Street. En attendant, il semble que cette tendance soit remise aux calanques grecques ! Et les crises se multiplient. Les comportements humains sont "orientés", les contrôles ne s'exercent plus. Les valeurs sont les shows, les réussites flamboyantes, la notoriété et les best sellers. Adieu l'instituteur, le médecin, le curé. Votre travail n'est pas une transaction, il ne peut se démultiplier. Dans un monde mondialisé et globalement connecté, les crises sont d'autant plus extrêmes, radicales et dramatiques. Taleb évoque quelques exemples de ces "signes noirs" dans The Black Swan, ces phénomènes a priori improbables mais dont les conséquences sont immenses : Les attentats du 11 septembre aux Etats-Unis, Hitler, le démantèlement de l'URSS, la bulle Internet, ... Et les 5 milliards de Jérôme. Faible probabilité ? Aveuglement ? Le rapport interne de la société générale est sans équivoque : La hiérarchie savait et devient le nouveau bouc émissaire. Mais le vrai coupable n'est pas seulement Arthur Andersen (une firme balayée par une crise réputationnelle avant de gagner symboliquement son procès en 2005), Jérôme Kerviel ou Monsieur Bouton. La vraie responsabilité est ailleurs... celle de remettre de l'ordre dans les choses. Que met-on au dessus de nos têtes ? Vaste chantier avant que le système ne s'effondre tout seul et que la vie ne reprenne ses droits.

mardi 25 mars 2008

Connexions improbables


Initiative intéressante et très "trentenaire" dans l'âme, les connexions improbables organisées par Laurence Thurion. Je participe à la 3ème édition.

Le concept...
Les Connexions improbables...
C'est une soirée " catalyseur de talents "
Qui consiste à...
Concrétiser
dans la vie réelle les logiques de connexions sur Internet via les plateformes communautaires (blogs, FaceBook, ASmallWorld...)
En faisant...
Interagir
des personnes,qui viennent d'horizons différents,
qui traversent des parcours hétéroclites,
qui, d'ordinaire, ne se seraient pas rencontrées.
Et pourtant, ces personnes se ressemblent...
Leur point commun : porter un projet et l'envie de le réussir, quel qu'il soit...

A suivre, à suivre... et pourquoi pas bientôt à 3.0

vendredi 21 mars 2008

La finance 3.0 le 30 mars à 3.0



Le 30 mars prochain, un membre fidèle de 3.0 est à l'honneur, il s'agit de Vincent Weber. Vincent viendra échanger avec nous autour du monde "impitoyable" ;-) de la finance. Centralien, diplômé d'un MBA, une jeune carrière d'industrielle et de financier, à 34 ans, il est (déjà) aujourd'hui directeur général d'un fond d'investissement (société Renilg).

Quel regard notre génération porte t-elle sur la finance ? Le capitalisme ? Les marchés ? Dans un contexte difficile (crise des subprimes, affaire Kerviel, ... ), comment réconcilier l'économie réelle et le monde financier ? Allons-nous assister à un retour au capitalisme familial ? Qu'est-ce qu'un financier responsable à l'heure où les fonds "éthiques" se multiplient ?

Ce sera dimanche, début de soirée avec la présence de l'association France Active dont la mission est de "lutter pour l'insertion par l'économique"

dimanche 24 février 2008

29 février : Le monde du Web à 3.0


Le vendredi 29 février, après avoir traité le mois dernier le thème des médias traditionnels avec Anne-Sophie Lapix de TF1 et Reporters d’Espoirs, nous parlerons du « monde du web » avec Benoît Raphaël.

Benoît Raphaël est le responsable éditorial du média en ligne « Le Post » qui appartient au groupe « Le Monde ». Le Post.fr est un site d'infos expérimental et grand public lancé en septembre 2007 par le Monde Interactif. Dès la fin 2007, Le Post atteignait 590.000 visiteurs uniques par mois (près de 2 millions de visites Xiti) et se positionnait ainsi au même niveau que des médias comme Le Parisien.fr. Benoît Raphaël a été successivement journaliste au Dauphiné Libéré, directeur adjoint de la rédaction de Vaucluse Matin et responsable des stratégies Internet du groupe Dauphiné Libéré et de la recherche de nouveaux marchés.

Nous évoquerons avec lui l’impact des nouveaux médias sur le champ sociétal, culturel et politique, leur place à côté des médias traditionnels, le journalisme et Internet, l’évolution du secteur et le rôle que joue notre génération dans cette révolution numérique. Quelques bloggers et spécialistes du Web seront présents, dont Nicolas Voisin (invité à 3.0 l’année dernière pour son PoliticShow) et l’équipe de Six35

Nous sommes aussi très heureux de recevoir Erik Van Rompay, délégué général de « Renaissance Numérique », un think tank dans le domaine d'Internet qui regroupe des experts du monde professionnel (dirigeants d'entreprise) et du monde universitaire (enseignants-chercheurs). Cette proximité entreprises - universitaires permet à l'association d'avoir un point de vue riche, complet et neutre sur les grandes évolutions de la société liées au développement de l'Internet.

A vendredi, 19h30 au LR - 9, rue du General Lanzerac 75017 PARIS 17

mardi 19 février 2008

Une trentenaire exceptionnelle



Elle s'appelle Marie-Agnès Gillot, elle est danseuse étoile du Ballet de l'Opéra national de Paris depuis 2004. J'ai beaucoup aimé sa danse solo sur "La mamma morte", l'extrait de l'opéra Andrea Chénier composé par Umberto Giordano et interprété par Maria Callas. C'était à l'opéra Garnier vendredi 15 février, à l'occasion de la soirée gala au profit de "Mouvement pour les villages d'enfants" organisée par l'association "Aux enfants d'abord" présidée par Alain Duault.

samedi 16 février 2008

Un documentaire...

... Signé les enfants de Don Quichotte

jeudi 31 janvier 2008

Thanks Anne-Sophie


Et Pierre Nougué de Reporters d'Espoirs pour cette soirée réussie. On aurait peut-être voulu être plus "tranchant", confronter différents points de vue du traitement de l'information... Evoquer avec plus de passion le contenu parfois "orienté" des JT, alignant les catastrophes, préparant les choix politiques ... Nous avons évoqué certes successivement la dépendance des chaînes, la censure ou l'auto-censure des journalistes, le rapport avec le politique (moins fort selon Anne-Sophie chez les journalistes trentenaires), les vacances de Claire Chazal ;-), la maison TF1, le cerveau disponible, le choix des sujets, le degré de liberté, le degré d'implication dans les choix éditoriaux... Et surtout, et surtout, cette nouvelle donne, cette crainte du NET, à la fois source d'information pour les journalistes en manque de temps ou "embedded", vecteur de désinformation, vecteur de déstabilisation... Une crainte à tel point qu'on se méfie de parler en privé, d'évoquer des sujets sincèrement. La crainte de la mauvaise vidéo sur Daily, le buzz inutile, la petite phrase qui tue, la mauvaise réputation ! Le jour même de cette soirée, je déjeunais avec un entrepreneur qui avait eu l'idée de monter une chaîne à partir de vidéos mobiles amateurs... Alors le journalisme dans tout cela ? Est-on obligé d'être lisse, méfiant ou se taire quand sa notoriété grandit ? Est-on obligé d'avoir peur de son ombre dès qu'on sort dans la rue pour finir dans Closer ? Apparemment, on en est là.
Merci pour cet échange, ce débat. Anne-Sophie a été juste et sincère. Pierre Nougué a proposé une voie nouvelle, mettre en valeur les solutions. Et pour ma part, je pense qu'il faudrait que les journalistes s'organisent, se protègent, sanctionnent le travail mal fait et développent l'éthique de leur profession pour se rendre plus libres. Il faudrait aussi que nous, lecteurs assidus du zapping bien fait, nous nous posions un peu, nous acceptions les temps longs, nous cessions de consommer l'actu pour prendre le temps de la recouper et de l'évaluer.

mardi 15 janvier 2008

Fly de janvier, Anne Sophie Lapix et Reporters d'Espoirs


Selon places disponibles, inscription obligatoire troispointzero@yahoo.fr

mardi 8 janvier 2008

Anne-Sophie Lapix, femme en or.


C'était le 16 décembre à Courchevel pour la nouvelle édition du trophée des femmes en or... Et ce sera le 30 janvier au club 3.0, à Paris au RCF.

dimanche 6 janvier 2008

Six35 lancement


J'ai évoqué il y a quelques temps le lancement d'un JT sur le Web. 18h35 devient donc six35 pour éviter quelques aléas inutiles. La première est pour le 10 janvier 2008 !! Et comme je suis partenaire du projet, en particulier sur le volet veille, je vous tiendrais au courant de l'évolution de ce projet innovant : "Un JT participatif, alternatif, gratuit, citoyen, politique" avec Magali Lacroze. Mes partenaires sur six35 sont Nicolas Voisin, Pierre Abruzzini et Franz Vasseur.

Reporters d'espoirs au club 3.0


Très heureux de recevoir le 30/01 l'association Reporters d'Espoirs lors de soirée qui aura lieu autour d'Anne-Sophie Lapix.
Leur vision...





Rendez-vou le 30/01, + d'infos dans quelques jours.

mardi 1 janvier 2008

Bonne année 2008


De la part de toute l'équipe de 3.0.